Le XXIème siècle a débuté plus encore que le précédent sous le signe de la communication : Internet, télévision, téléphone portable, « l’objet indispensable ». Ne pas pouvoir communiquer dans la langue du pays dans lequel on vit est un vrai handicap. Par ailleurs au niveau de la lecture et de l’écriture, il est à l’évidence ressenti comme un obstacle doublé d’une honte apparemment insurmontables.
J’ai vécu une partie de ma vie adulte dans des pays étrangers dont la langue maternelle n’était pas la mienne et j’ai expérimenté la difficulté d’affronter la vie quotidienne quand il s’agit de s’exprimer ou d’essayer de comprendre : dans la rue pour demander son chemin, dans les magasins, ne serait-ce que pour acheter l’essentiel, alors que cela paraît tout naturel quand on est dans son milieu d’origine.
Un de mes domaines d’élection est la gastronomie. Proposer un atelier de cuisine m’a semblé pouvoir réunir les suffrages des jeunes en demande d’apprentissage : la cuisine est un champ d’activité concret, ludique, qui peut à tout le moins… attirer les gourmands !
Enfin le domaine de la restauration en France est un de ceux qui recrute des jeunes sans grandes qualifications et ces ateliers peuvent être, dans la meilleure des hypothèses, un tremplin vers une formation utile.
MARIE
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